Ces espèces comprennent le Bruant des champs, la Grive à dos olive et le Pipit de Sprague.
Les trois espèces fauniques choisies comme indicateurs étaient le wapiti, le loup et la grive à dos olive.
La grive à dos olive a servi à évaluer l’utilisation du territoire par les oiseaux chanteurs et a constitué un indicateur écologique de la fragmentation localisée de l’habitat forestier.
La grive à dos olive a quant à elle permis d’évaluer l’utilisation des terres par les oiseaux chanteurs et a servi d’indicateur écologique de la fragmentation localisée de l’habitat forestier.
Les espèces les plus communes en forêt sont le Roitelet à couronne rubis, la Paruline verte à gorge noire, la Paruline à croupion jaune et la Grive à dos olive.
La grive à dos olive a quant à elle permis d'évaluer l'utilisation des terres par les oiseaux chanteurs et a servi d'indicateur écologique de la fragmentation localisée de l'habitat forestier.
Ces zones tampons, qui ceinturaient toutes les perturbations, étaient de 500 m pour le wapiti, de 1 km pour le loup et de 600 m pour la grive à dos olive.
Plusieurs espèces typiques des forêts matures et denses comme le Roitelet à couronne dorée, la Grive à dos olive et la Paruline verte à gorge noire ont atteint leur abondance maximale sur l'île du Fantôme.
Parmi les espèces les plus communes observées durant les relevés, il y avait : le troglodyte des forêts; le roitelet à couronne dorée; le mésange à dos marron; la grive à dos olive et le merle d'Amérique.
Les Viréos à tête bleue constituent l’espèce pour laquelle on note la plus grande diminution, alors que pour la Paruline du Canada, la Paruline couronnée, la Grive à dos olive et le Moucherolle tchébec, on note une croissance.